_ « Maintenant que nous somme que tous les deux, dit moi, oui, dit moi ce que tu as ressenti…si, tu sais Erokias, ton premier meurtre. Et oui !!Tu ne la pas tué pour vivre ! Meurtrier ! »
_ « Tais-toi ! Je…je vais te tuer ! »
_ « Tu ne le feras pas, c’est moi, moi, qui t’ais gardé en vie ! Je suis ton passé, et même si tu te refuse à le croire je suis ton futur ! »
_ « Non ! C’est faux ! »
_ « Si ! Il nous la dit ! Tu te souviens ? Il la dit ! »
_ « Il a menti…et…je ne peux pas… »
_ « Si tu peux ! Tu te souviens de l’époque ou nous faisions qu’un…oui, avant que nous rencontrions ces maudits elfes, nous étions fort ! »
_ « Non ! Ils nous ont aidé…nous somme plus fort que jamais, regarde toi ! Tu ressemble de plus en plus à un loup et moi de plus en plus à un elfe. »
_ « Tu voix, tu reconnais toi-même que je suis fort, laisse moi t’aider ! »
_ « Non ! Tu est trop dangereux, pour nos amis ! »
_ « Foutaise ! Tu sais très bien que je ne ferais jamais rien à la meute, elle est notre vie…laisse moi agir, je suis plus fort en combat comme pour la chasse…oui ! Laisse moi faire sa ! »
_ « D'accord, mais c’est moi qui décide quand tu sort ! »
_Oui ! Nous le dirons à personne, je serais ta botte secrète ! »
_ « Oui ! »
_ « Il serait fier de nous…oui, très fier. »
_ « Il nous à abandonné ! Akamaru nous à abandonné et maintenant il est mort…IL EST MORT ! »
_ « Tais-toi, quelqu’un arrive ! »
Kayl s’approcha de Galou tout essoufflé. Il posa sa main sur l’épaule de Galou qui était assit par terre et lui avec amusement :
_ « Je te cherchais partout, il y a une sacrée ambiance à la tanière ce soir, tu viens ? »
_ « Oui, j’arrive. »
Les deux elfes partirent en direction de la tanière.
_ « Et Galou ? »
_ « Quoi Kayl ? »
_ « Tu faisais quoi là tout seul ? »
_ « Je pensais. »
« Dit Akamaru ? »… « Quoi Galou ? »… « Comment tu fais pour me parler ? »… « C’est de la télépathie. »… « Tu m’apprendras ? »… « Oui, bien sur. »… « Super ! »… « Tu n’es encore qu’un enfant, joyeux, mais cela va changer, je me vengerais. »… « Qu’est-ce qui a Akamaru ? »… « Rien, laisse. »