Certaines personnes disent que l’on change jamais, pour ma part je trouve que c’est faux, car si on a la foi on devient celui qu’on désire, même si cela prend du temps…ou cause de la douleur. Oui…la douleur…. pas physique… non…une douleur qui vous ronge le sang et votre honneur, elle vous rabaisse plus bas que terre, cette douleur, c’est celle d’être écarté du monde, de n’avoir personne à qui se confier, et d’avoir la certitude d’être inférieur aux autres…vous me direz que personne ne peu connaître d’aussi grandes peines et je vous répondrais que vous avez raison, qu’aucun elfe ne peu vivre ses sentiments mais une bête, elle, le peu et une chose dont je suis certain c’est que dans certaines situations l’elfe peux devenir une bête même au plus profond de son âme…toute ma vie est basée sur cette certitude…toute ma vie…pourquoi ?…Peut-être parce que je n’ai rien vécu d’elfique, jusqu’à un certaine âge dans mon âme ce n’était que les ténèbres…
Ma mère est une louve du nom de Narëtih…comment une louve peut-être la mère d’un elfe ?…je n’en sais rien je sais juste qu’elle est ma mère, c’est elle qui m’a allaité juste a ce que je sache marcher, courir et me battre. Puis pendant trois année elle m’apprit l’art de la chasse…comment suivre sa proie sans se faire repérer, comment rendre son odeur familière à la proie pour que quand vous donnez la charge elle ne vous sent pas approcher d’elle, pour faire que le seul moment où elle vous voit soi celui de sa mort…Peut-être demanderez vous si ce chasseur a reçu de l’amour de la part de sa mère et la raiponce est non et c’est pour cela que j’ai survécu…mais à l’époque ou ma mère m’accompagnait encore, la chasse était encore qu’un jeu pour moi, je n’avais pas encore pris conscience que l’on vit que pour se battre…quand on est une bête…mais j’appris très vite cette leçon par moi-même. Le jour de mes quatre ans…juste au moment où le soleil s’est levé et que ces rayons on léchés mon visage…elle m’a attaqué…ma mère…Narëtih m’a bondit dessus comme si j’étais une proie…je n’étais pas assez grand… pas assez fort pour me battre…je n’avais que deux solution, fuir ou mourir…je n’étais pas assez fort…j’ai fui…j’ai couru le plus vite possible or du terrier, c’était la première fois que ma vie était en danger…mais se n’est que quelque jours plus tard que je compris ce que cela signifiait, je venais d’être expulsé du terrier, j’étais devenu un adulte, j’étais heureux…j’étais apte a me débrouiller tout seul…voilà comment je suis devenu un adulte…à quatre ans…
Durant une année je vivait de la chasse de lièvre mais il est dur de prendre sa prise à chaque fois, et moins je me nourrissait plus j’avais du mal à chasser, c’était un cercle indestructible qui ne prendrait fin que si je mourais…je devais avoir vers les cinq ans quand je compris que pour vivre je devais prendre pour proie des moutons que les elfes de lune laissaient libre, ils étaient docile…ces moutons…mais je ne savais pas qu’en faisant ce choix je m’éloignais un peu plus encore de ceux à qui je devais ressembler…pendant deux ans ma vie était monotone, je me levais je chassais un mouton et je retournais me coucher, sauf en hiver où je me nourrissais de mulot. Puis un jour ou je vu une discussion entre bergers je me suis rendu compte que même si ils me ressemblaient je ne comprenais pas se qu’ils disaient, on ne parlait pas la même langue alors je décidais d’apprendre leur langage…j’avais sept ans à l‘époque…
…J’avais onze ans, c’était la saison du souffle infernal, et je venais de finir mon apprentissage de la langue elfe et pour la première fois j’ai essayé de rentrer en contact avec eux…des jeunes elfes qui devaient avoir mon âge jouait près d’une rivière…c’était une des seul fois ou je me suis levé sur mes deux jambes, sa me faisait mal…mais je me suis approché d’eux quand même, une fois arrivé à environ trois mètre d’eux je leur avais dis mon plus beaux « bonjour », les enfants se sont tourné vers moi alors j’ai continué sur ma lancée…« je peux jouer avec vous ? », les enfants mon dévisagé, puis l’un d’entre eux s’est avancé…à son regard j’avais deviné que c’était le dominant…il m’avait dit avec méchanceté « on joue pas avec les étrangers » les autres approuvèrent l’avis de leur chef en me lançant en cœur des « Ouais !! Va t’en l’étranger, t’es pas de notre groupe », j’avais obéi…je suis parti… je ne sais pas pourquoi, mais je n’ai jamais senti autant de douleur m‘envahire, on ne pouvait me faire plus mal…je m’étais juré de ne plus jamais réessayer…
Je devais avoir 13 ans lorsque la rumeur arriva jusqu’à moi…un certain Gaver a été banni de Na’helli et une armée d’elfe la suivi, comme j’aurai aimé être à sa place, tous ces hommes devaient l’admirer…je l’enviais…je m’étais imaginé a sa place, avec toute une armée pour me soutenir derrière moi…mais plus je rêvais plus une certitude me paraissait évidente, je ne serais jamais comme lui…comme vous…je priait le ciel pour qu’on ne me juge pas avec vos critères…j’avais à l’idée que je ne serais jamais accepté…
…j’avais faux. A mes seize ans…pour me donner un peu d’humanité, je m’étais mis dans la tête de faire un bon repas, et j’avais décidé de manger du lapin en souvenir de ma jeunesse, la chasse se passa bien, je suis tombé sur un gros lièvre mal, je me suis approché de lui le plus silencieusement possible caché dans les fourrés et je ne sais pas comment il a fait mais il m’a repéré…il s’enfuit, je lui courus après le plus vite possible, on ne rencontre jamais deux belles proies dans la même journée et je ne voulais pas manger du mouton…le lièvre me fit m’engagé dans les sentier tracé par les elfes, mais je n’ai pas lâché prise, je me suis même mis à courir sur mes deux jambes pour être plus rapide…je n’ai pas senti l’odeur de l’elfe vers lequel lièvre se dirigeait…lorsque je me suis retrouvé face à l’elfe, je fus surprit…il était grand et fier, il était plus vieux que moi…il était au milieu du sentier, je ne pouvais plus passer sans le pousser…je venais de perdre ma proie, mon bon repas pour mes seize ans…alors je lui dit: - « c’était ma proie ! »
- « tu parles du lièvre ? »
- « Oui…Pour mon anniversaire »
Il me regarda attentivement puis il ajouta:
- « tu es blessé au côté droit de ta nuque ? »
- « non, c’est une marque »
Il regarda avec encore plus d’attention la marque. Puis il eu l’aire surprit, j’ai reculé…et il s’écria:
- « C’est un Saïka…celui du clan du loup ! »
Je l’avais cru en colère et il avait l’air fort, alors je me suis enfui le plus vite possible dans la forêt…mais il m’intriguait. Cet elfe, il venait de parler d’un clan, d’un clan dont j’avais la marque, j’était donc relié a des gens…j’avais une meute…se jour là mon cœur est sorti des ténèbres. Mais je ne savais pas qui il était mais mon instinct me poussa à le suive… pendant deux ans j’ai passé tout mon temps à suivre le moindre de ses gestes…pendant ces deux ans j’ai appris qu’il s’appelait Lytharion, qu’il était membre d’un groupe qui vénérait le loup, ils l’appelaient un totem …ces gens partageaient les même pensé que moi…j’étais l’égale de quelqu’un…je crois bien c’est quand j’ai pris conscience de ça où l’elfe qui sommeillait en moi à pris le contrôle sur la bête…je ne peux la battre…mais maintenant c’est à moi décider d’ouvrir la porte à l’instinct…c’est ce que je croyais, mais en réalité l’elfe et la bête sont pareille…ils ne font qu’un…l’elfe n’est qu’une bête qui a mûrit…
Un jour où Lytharion est partie avec sont frère voir une vieille femme quand il est revenu un autre jeune elfe les accompagnait, je crois que son nom est Kayl. Un peu avant la lisière de leur village Lytharion demanda aux autres de continuer sans lui en protestant qu’il était fatigué. Il s’assit sur une souche d’arbre et dit d’une voie forte : - « Tu peu sortir maintenant »
Je ne sais pas comment mais j’ai tout de suite su que s’était à moi qu’il s’adressait alors je me suis levé et j’ai avancé vers lui puis je lui ai dit sur un ton calme et amicale :
- « Bonjour Lytharion »
- « Bonjour l’ami…quel est ton nom ? »
Quel est mon nom ? Mais même moi je ne le sais pas, j’ai passé tellement de nuit a chercher cette réponse…Quel est mon nom ?…je n’en sais rien, c’est les ténèbres…pour seul réponse j’ai la vision de cette femme qui ma posé en pleine nuit au pied de ma tanière maternelle…cette femme c’est ma mère…la vraie…mon sang me le dit…elle ma posé et elle est partie…non…elle a dit quelque chose, mais quoi ?…oui, je le sais…mais elle pleurait… « Je suis désolé Galou, je t’aime , mais j’avais promis à ton père de te mettre en sécurité…Galan…mo…mort, il s’est sacrifié pour que nous puissions vivre…tu vivras car tu auras sa force…Galou… »
- « Mon nom…mon nom est Galou »
A ce moment je ne pus retenir une larme de couler…il suffisait donc de me demandé mon nom pour que je trouve qui j’étais, mais personne me la posé, personne ne s’y est intéressé…aucune importance car je sais maintenant que je suis Galou fils de Galan…
Après une discussion avec Lytharion je le suivis jusqu’au village du clan du loup…dont je fait parti et j’ai fait ma nouvelle tanière en bordure du village…et je participe au action du clan du loup même si je reste un peu à l’écart quand mon instinct me le dicte…
…Voilà…je me nomme Galou, je suis une bête, un elfe dont l’âme a été marqué au fer rouge dès sa naissance…
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merci de vos compliment et j'ai fait les modifîcation qui simposait^^ 
